Metronomy : Un cousin, un ami de la famille, un Mac vendu par son père
en guise de fratrie, le combo réunit par Joseph Mount sous patronyme
Metronomy aurait pu incarner à bon compte un mythe vaguement geek.
S’il n’en est rien, c’est que l’affaire se joue ailleurs, dans un modernisme
foutraque qui annonce enfin les années post-synthèse. Une poignée de
titres jetés à la face de l’époque en témoignent qui traquent la mélancolie
des amours totalitaires au coeur des dance floors, s’affranchissent du
diktat des updates en admettant paisiblement l’incompétence et, dans le
même temps, poussent les logiques lofi dans leurs retranchements les plus
symphoniques.




A Place To Bur y Strangers : Retour au bruit, flash back blanco y negro
sous éclairage acétylène, compositions en écho aux sillons sous label
Creation, A Place To Bury Strangers assume les héritages et remet la question
de la masse sonore au coeur du débat. Une question de posture.




Da bluten Ohren. Da wird aggressiv verzerrt. Die Amis hauen einem als ersten
Eindruck vor allem laute Gitarren um die Ohren, und aus den Lautsprechern kommt
etwas richtig schön Fieses heraus. Das beste daran ist, dass die Band live noch viel
lauter spielt.




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