L'OSOSPHERE VS HUNGRY PARTY
WORAKLS live
Attention prodige. Enfant des partitions, en rupture de conservatoire pour se consacrer à un enseignement garage, Worakls est entré en électronique pour y explorer ses intuitions. Sa techno minimale est nourrie de ses amours pour la musique classique et contemporaine, la musique de films ou le fado, de son sens de la composition et de sa quête d’un onirisme qui sache faire danser. Worakls est devenu un artiste majeur.
Elektro, Techno, Minimale Deep House, live und als DJ-Set. Das Programm verspricht eine nette Nacht. Dieser vielseitige Mix geht ins Bein, bringt jede Hüfte zum Schwingen und die Köpfe zum Nicken.
N'TO live
N’TO est né au cœur de la face cachée de la planète Marseille, entre les reliefs inédits que révèle la musique électronique et les strates (swing des années 30, hiphop, triphop, pop, jazz, soul, musique classique ou rock progressif) qui se révèlent à qui les sonde. Insatiable explorateur de ses propres passions, N’TO est un compositeur hors-pair et a déjà commis une jolie poignée de hits chillants ou dansants. Sa signature musicale est immédiatement identifiable, ciselée avec un sens aigu du détail minimal quoique onirique et de la rythmique hungry.
JOACHIM PASTOR live
Enfant du Conservatoire, des beats-combo et de compagnonnages around the dance-floors, Joachim Pastor brasse avec délicatesse les éléments micro-climatiques de son Versailles natal. Influences pop, lignes mélodiques au cordeau, beats colorés qui savent porter en se faisant oublier, ses compositions recomposent avec une originalité toute personnelle les Tables de la Loi. Talent à part aimant la compagnie des singularités, il a co-fondé Hungry Music avec Worakls et N’to.
EFIX dj set
Fortement inspirée par le jazz et les musiques balkaniques qu’il intègre à une douceur électronique, mélodique mais terriblement efficace, le perfectionniste EFIX est un young frenchie qui compte sur la planète mélo-deep. Ses productions font mouche au-delà des dance-floors comme le montre sa relecture de Happy de Pharell Williams ou celle de Road to Zion de Damian Marley adoptée par le chorégraphe Denzel Chilsom.