Présentation

 

 

Festival bienal du 13 au 22 septembre 2019
À #Strasbourg ! Dans le quartier Laiterie et dans la ville

▬▬▬▬▬▬ MUSIQUE ▬▬▬▬▬▬

Pour sa 20ème édition, L’Ososphère investit le Quartier de la Laiterie tout entier avec 4 Nuits Électroniques : sur 4 dance-floors et dans les divers bâtiments, on retrouve la scène internationale des musiques électroniques mais aussi un parcours in situ d’art numérique accessible pendant les concerts, et de nombreux inattendus, interstices, expériences et extérieurs-nuit qui activent ces heures pas comme les autres à travers la scénographie du site, les architectures éphémères et les interventions vidéos in situ. 

 

▬▬▬▬▬▬ ART NUMÉRIQUE ▬▬▬▬▬▬ 

Dans le Quartier de la Laiterie : installations interactives, audio-visuelles, lumineuses, sonores ou en réalité augmentée, projections, mapping, performances ; un parcours d’art numérique in situ présentant de nombreuses œuvres et au centre duquel L’Ososphère se préoccupe de perception à hauteur d’individus, question centrale posée à notre époque.

En voisinage direct avec la Cathédrale de Strasbourg - dans laquelle vient flotter une Lune de 7m de diamètre -, L’Ososphère pose son Pop-Up District, renommé « Cosmos District » à l’occasion du 50ème anniversaire du premier pas sur la Lune.

Dans ce village de containers maritimes transformés, de dômes géodésiques et d’architectures expérimentales pour l’Espace viendront s’installer de nombreuses installations artistiques et scientifiques, des performances, des conversations et des Labs divers interrogeant le rapport au Cosmos et à la ville.

L’Hinterland, le restaurant éphémère de L’Ososphère est de retour. Il est articulé avec ses Foodlabs : artistique pour l’un, spatial pour l’autre.

Des Cafés Conversatoires provoquent le dialogue entre experts, penseurs, acteurs et habitants autour de sujets intimement liés à la programmation artistique de l’édition et autour des grandes questions de l’époque : l’art, le numérique, la ville, l’écologie, le féminisme, l’Europe... Ces Cafés s’inscrivent dans la tradition des grands cafés européens dans lesquels la pratique assidue de la conversation croisée participe de la fabrique de la société.

L’Ososphère propose également des éditions-regards et des médias-regards qui brassent les perceptions individuelles pour fabriquer du propos commun. Sur papier et pixels.