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Attention, l’affaire est d’importance, nous parlons ici de soul music, de cette sweet soul music qui vous emmène entre rire et larmes, joie et douleur et fait exulter le corps en retournant l’âme. Cette sweet soul music qui, née au cœur de la ségrégation, balaiya tout sur son passage pour réunir autour d’une même plaque noire de 30 cm, un gamin de Harlem ou de Detroit et un autre de Birmingham ou du Havre. Cette soul music dont un Kevin Rowland en mission pour le seigneur, fit plus tard une cause sacrée, se brûlant à son époque pour qu’elle lui rende justice et paie le tribu. Cette soul music dont tant de fois on pille les clichés pour la violer sans amour et tenter de s’emparer de sa grandeur. Et bien grands dieux, croyez-le si vous le voulez, en 2007, se cache à Berlin une fille qui peut se réclamer de Glady Knight et Ann Peebles sans que l’on n’y trouve matière à hurler. Joy Denalane n’est pourtant en mission, elle… Joy Denalane chante la soul avec la même immé-diateté qu’elle l’aurait fait en 1967, assimile tous les groove de son époque et ne semble se préoccuper que de vivre sans compter les instants de grâce que lui offre sa voix lorsqu’elle est portée par une rythmique et une section de cuivres investies de l’esprit du backing band de Hi-Records.




Kann man das so sagen ? Die große Dame des deutschen Soul ? Ja ! Wenn eine Künstlerin im Moment diesen Titel verdient, dann ist es sicher Joy Denalane. Ihre Konzerte platzen aus allen Nähten. So viel Erfolg ist sonst im deutschen Soulpop nicht üblich.




Le site officiel de JOY DENALANE:

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Le site myspace de LITTLE:

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