Les tables de brasserie et les couloirs des écoles d'art de Bruxelles, de Gent ou d'Anvers
pour une certaine idée de l'art et du cochon, la mer du nord comme idéal terrain
vague à l'âme... le plat pays qui était le sien cache en son sein l'une des populations
artistiques les plus iconoclastes et attachantes du moment. De tous crins, de tous
bords, les artistes belges ont ceci de formidable qu'ils font souvent écho aux camaïeux
impressionistes que laissent traîner dans nos mémoires nos road movies vers Ostende.
Ici Starving aguiche, piochant dans le répertoire et les clichés 80's comme une lolita
avant de se barbouiller les lèvres de nutela : un coup de langue, un regard en dessous
et on passe au suivant... là, Sharko titube droit, entre audaces iconoclastes et références
assumées, entre burlesque -social, forcément social - et intimisme à peine voilé.

Das belgische Trio Sharko spielt einen poppigen Art-Rock. Schwermut und Gefühl stecken in den Stücken. Seit Jahren macht Chefmusiker David Bartholomé guten Pop mit wechselnden Weggefährten. Fünf Jahre gar verbrachte er in den Clubs der USA und holte sich dort seine ausgefallenen Ideen. Ein toller, experimentierfreudiger Typ rockt schräg. Mit dabei an diesem Abend und ebenfalls aus Belgien: Starving. Eine neue Popband, die hungrig ist nach der Musik von Killing Joke, Human League und New Order.

Le site officiel de SHARKO:

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Le site officiel de STARVING:

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