{" C’est la fermeture qui m’inquiète. Moi, je procède par élargissement, je ratisse toujours plus. Une collaboration en appelle une autre. Il y a plein de jeunes groupes qui m’appellent, et moi je reste ouvert. Une des meilleures phrases de Woody Allen, c’est lorsqu’il dit qu’il aimerait se réincarner en une éponge. Ça a la possibilité d’absorber ou de rejeter. C’est parfait ! Je fais mes projets au gré des rencontres, je n’ai pas beaucoup d’idées à l’avance. Les choses s’enchaînent assez naturellement, je préfère que la réalité me donne des idées, plutôt que de fantasmer la réalité. Rien n’est jamais dû au hasard. Le hasard n’existe pas pour la production d’un disque, enfin ça peut exister mais pas ce hasard là. "}




Erik Truffaz zählt zu den wichtigsten Jazztrompetern Europas, der in seiner Musik immer wieder ungewöhnliche Begegnungen mit Künstlern aus ganz anderen Bereichen sucht. So nahm er in Paris mit dem Rapper Sly Johnson Vokalstücke auf oder interpretierte indische Ragas. Heute groovt der Saal.

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