A ma gauche, le Mal, représenté par Gluecifer, coutumier des « Java du Diable » dans laquelle Le Malin ne lâcherait pas le dossier et passerait par les têtes de pont d'un Eternel garage punk pour distraire notre belle et saine jeunesse de ses studieuses occupations.


Honoré par Supersuckers, trahis par les lombalgiques Queen Of the Stone Age ( take care, Nick and see you soon on board), mais servilement servi par Nashville Pussy, Satan avance encore une fois à visage découvert en la personne de Gluecifer, combo nourrit au sein de la Crampsienne Poison Ivy et ayant appris à marcher au rythme des Sonics.


A ma droite, le Bien, et son légendaire champion, Monster Magnet. Un groupe tellement cintré qu'il en est devenu un véritable passe-muraille de la segmentation stylistique. Monster Magnet, créature hybride dont la conception ne pouvait germer que dans la réunion des cerveaux dérangés de ses protagonistes, est un exemple survivant de la force unique que confère la monstruosité quand il s'agit de prendre le monde au call-back. Membre éternel d'une infréquentable confrérie qui compte parmi ses membres Motorhead, les Stooges ou Alice Cooper, Monster Magnet persiste à vouloir évangéliser les foules, jusqu'en terres laitières.




Zurück zu den Rockwurzeln. Wer ein Konzert von Monster Magnet besucht und die Augen schliesst, der meint auf einer Zeitreise zu sein zurück in die Zeiten, als Bands wie Black Sabbath oder Hawkwind die Mauern der großen Konzerthallen erzittern ließen. Auch Gluecifer aus Norwegen hat seine Vorbilder in der frühen Musikkultur der Jugend ab den 70er Jahren mit rebellischem Image und einer tanzbaren und gitarrenlastigen Musik, meist mit Texten über Liebe und Sex.

Le site officiel de MONSTER MAGNET:

http://www.monstermagnet.net/