Cinquième édition pour ces soirées « La », devenues label en moins d’une
saison et destinées à présenter des valeurs montantes d’une scène nationale
en pleine ébullition.




BALBINO MEDELLIN : {« Je viens d’un monde où la première chose que l’on t’apprend,
c’est à t’écraser. Mes premiers accords de guitare, je les ai appris entre un oncle amateur
d’Elvis, de Léo Ferré, et les gitans de Perpignan, là où vit la famille de ma mère ».} Gitan
de Paname selon sa propre formule, Balbino Medelin a grandi à l’ombre du Sacré Cœur,
du parfum des romances interlopes qui battent le pavé parisien et d’une mythologie
urbaine qui relie la Place Clichy, White Chappell et les bas fonds de Séville. De cette
bourlingue intra muros, il a fait un répertoire... mieux, un univers poétique.




WATCHA CLAN: {Oui, on commence à vraiment trouver notre son, même si on part toujours dans tous les sens. On assume de plus en plus notre volonté de mélanger l’acoustique et l’electro, confronter des langues, des univers qui ne doivent pas rester clos. Plusieurs morceaux sont en hébreux (dont Limu), d’autres sont effectivement en français, en anglais, en espagnol. C’est une volonté d’éclectisme qui nous pousse à explorer, tant par la langue que par des samples et des instruments, les différentes sonorités du monde. C’est une manière de s’ouvrir au monde et de confronter des musiques, des ambiances. Le mélange est notre principal moteur créatif, il n’y a plus de limites. On ne veut pas non plus se limiter à un style d’”électro”, pour nous, la base de l’électro est de toute façon le dub, qui plus qu’un style est une manière d’aborder la musique et la production. Le bidouillage de sonorités, les versions, les remix, tout découle des expérimentations de Lee Perry et King Tubby.}




AL JAWALA : Ce voyageur-là a choisi pour aventure d’emmener l’âme des fanfares
tziganes au cœur des dance-floor, tissant les parallèles que l’on voudra entre des
nomadismes qui, pour se croiser sans doute sur les rubans asphaltés, ne partagent
guère leurs destinations. Al Jawala mixe donc les jubilations pour les offrir aux
emballements publics.




LES DESSOUS DE LA VIE : En quête de poésie pour dire quelques intimes écorchures, Les
Dessous de La Vie croisent grilles blues et codifications tango, intimité acoustique et
plaisir d’offrir ses soupirs au plus grand nombre par la grâce de l’amplification.




Balbino Medellin hat schon mit Sergent Garcia und Bernard Lavilliers gearbeit. Für letzteren
durfte er auf der letzten Tournee den Einheizer machen mit seinen rauen Chansons, der mit seiner
Musik auch an die legendäre Edith Piaf erinnert.



Le site myspace de BALBINO MEDELLIN:

cliquez ici




Le site myspace de WATCHA CLAN:

cliquez ici




Le site myspace de ÄL JAWALA:

cliquez ici




Le site myspace de LES DESSOUS DE LA VIE:

cliquez ici