Il était, dans le mensuel Best, deux pages qui ne se lisaient pas comme les autres : maquettées à l’italienne comme des chaussures dolce vitta, elles obligeaient à compulser le magazine sous un autre angle, trahissant ainsi physiquement l’intérêt que l’on portait à ce qui se jouait au Gibus à l’Open Market ou entre les rayons de la boutique New Rose. Certains s’y forgèrent un Panthéon en version française, peuplé de mortels magnifiques qui avaient la morgue de venir tutoyer, la tête haute, les Dieux en version originale. Surtout, quelques uns de ces mortels magnifiques proposaient enfin une manière électrique d’envisager l’hexagone. On n’aurait osé parier alors que, trente ans plus tard, une scène de jeunes gens - modernes eux aussi - revendiquerait l’écho de ces pages là comme matrice - électrique encore – de leur propre aventure ; on n’aurait pas osé croire non plus que, avec la même morgue que leurs ainés, ils brandiraient à la face de l’époque des emblèmes que tous les systèmes condamnaient à épaissir le compost référentiel de la culture industrielle du cliché.




Wenn Rubin Steiner zum zweiten Male Sex hat, dann versteckt er sich nicht irgendwo im Schatten. Die halten drei französische Bands die Fahne des Punks hoch, der elektronisch aus der Garage kommt und sogar rockt.




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