ZEBDA: Zebda est revenu aux affaires avec un « Premier tour » débuté il y a un an, dans un contexte électoral singulier. Si les urnes ont parlé, certains enjeux n’ont pas changés et appellent de maintenir le micro ouvert. Zebda poursuit donc sa route, prolongeant la fête avec une inlassable gouaille méridionale qui ne saurait masquer la détermination à ce que le verbe fasse sens, voire se constitue en rempart érigé depuis les portes de la ville rose jusqu’aux horizons d’une internationale rock.
ANOUK AÏTA : Celle-là chante comme elle respire : avec un naturel confondant
qu’elle trimballe sous les feux de la rampe comme dans une flânerie, Anouk
Aïta cisèle un répertoire de mélancolies joyeuses et légèretés plus profondes
qu’il ne semble.
Nach einer schöpferischen Pause kehrt die französische Band Zebda zurück auf die Konzertbühnen in ihrer Heimat. Ihre multikulturellen Wurzeln in einem Stadtviertel von Toulouse haben die politisch linken Franzosen stets betont und in ihren engagierten Texten die Probleme der Migranten kritisch behandelt.
