En septembre 1990, les amours illégitimes d’une ouvreuse du Cotton Club et d’un
rasta dûment dreadlocké donnent naissance aux Slackers, un combo looké Big Band.
Au dessus du berceau, une boîte à musique, aux allures de boîte de Pandore, tangue
alternativement au rythme du rocksteady le plus roots, d’un mambo-reggae ou d’un
ska matiné d’influences New Orleans. Bien des années plus tard, les Slackers font figure de sensation du renouveau ska.

Die New Yorker brauchen sich nicht hinter Bands aus dem Mutterland des Ska zu verstecken.
In ihrer Show hauen uns The Slackers einen Rocksteady-Beat nach dem anderen um
die Ohren, bis sich am Ende alle müde vor Erschöpfung in den Armen liegen.

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