THE PRODIGY + SHAKA PONK
+ RIVAL SONS + THE SUBWAYS
Billets disponibles sur place, en caisse, à l’entrée du Zénith (prix majoré en caisse)
Placement assis / debout libre.
Artistes
THE PRODIGY
(UK)
Sans aucun doute, The Prodigy aura été de ceux qui amenèrent le mouvement rave à pousser les murs de l’underground pour prendre place au coeur des urbanités électroniques. Concassant l’esprit et le son du trainspotting techno, le frottant à tous les hardcore, empruntant au breakbeat ou à la musique industrielle, The Prodigy aura provoqué l’adhésion au long cours du Village Global et trouve aujourd’hui une place singulière sur la scène du Festival des Artefacts.
Die englische Band wurde zu Beginn der 1990er Jahre durch Breakbeats in der elektronischen Tanzmusik bekannt. Jede Menge Alben später ist ein Konzert mit der Gruppe und ihren Gastmusikern immer noch der absolute Kracher. Wo Synthie-Sound draufsteht, da ist halt nichts anderes drin. Und die Bässe hauen stets voll rein. Gut, dass neben dem Zénith keine Nachbarn wohnen.
SHAKA PONK
(F)
Le cross-over, en lieu et place de « fusion », comme projet et méthode, Shaka Ponk pioche dans les références stylistiques comme dans les articulations linguistiques : en toute décontraction. Trouvant son efficacité dès les premières secondes, chaque composition de Shaka Ponk semble être servie par la précédente et dynamiter la suivante : les concerts en deviennent vite jouissifs invitant les esprits chagrins à passer leur chemin. La France en feu demandant et rendant grâce tout à la fois, Shaka Ponk revient souffler sur les braises, par la grâce d’un nouveau show – le mot n’est pas trop fort – centré autour des albums « The White Pixel Ape » et « The Black Pix
Das Musikkollektiv aus Paris ist auch in deutschen Landen wohlbekannt. Shaka Ponk interpretiert den Sound der nahen Zukunft und vermischt hemmungslos Gitarrenriffs, hämmernde Beats, Klänge aus der Weltmusik und jede Menge Ragga und HipHop. Zu den Texten in einer frei erfundenen Sprache kommen noch Multimedia-Effekte und natürlich das Maskottchen Goz, ein virtueller Affe.
RIVAL SONS
Fils putatifs de la scène de Long Beach, ces Rival Sons défrayent la chronique en inscrivant directement les marques de leurs boots dans une incandescente lignée dont les cendres brulent encore au Panthéon électrique. Le rock’n’roll est ici considéré comme un sublime archaïque, à restaurer comme d’aucun le ferait d’une Belle Américaine, pour mieux le customiser ensuite à grand renfort de psychédélisme électrique.
Wer gern die Keyboards in der Musik der 1960er Jahre hört, der ist bei den Amerikanern genau richtig. Aber so ganz retro klingt ihre Musik seit dem Album Great Western Valkyre nicht mehr, wenn die Jungs nun musikalisch zwischen Vintage-Rock und heftigem Blues-Rock wandeln.
THE SUBWAYS
Deux tourtereaux électriques et sexy à croquer en devant de scène, un frangin pour tenir la chandelle et les baguettes, des chansons à peine pubères et pleines de sèves, des concerts rageurs et ravageurs, des singles qui font la bande son de publicités mettant Kate Moss en vedette… The Subways aurait pu se contenter d’avoir été inventé pour l’époque. Qualité britannique oblige, le trio trousse de bien efficaces bombinettes pop et les interprète avec un savoir-faire confondant.
Seit gut zehn Jahren steht das britische Trio auf der Bühne, und besonders live hat die Band einen hervorragenden Ruf, denn sie lässt es einfach gut krachen. Ihren Indie-Rock interpretieren sie mit dem Fuß auf dem Gaspedal. Da absolvieren die Ohren der Konzertbesucher wirklich Schwerstarbeit. Diese Gruppe steht für Tanz, Schweiß und Party.