Vendredi 6 juin 2003
Ouverture des portes à 20h00
MARCIO FARACO (BRE)
Gratuit
» La musique brésilienne est pleine de paradoxes, c’est souvent une musique gaie avec parfois des textes très tristes… mais ce qui prime toujours, c’est la nonchalance de la langue et du rythme… on a reçu en héritage la mélancolie portugaise… moi, par exemple, je sais que je suis né mélancolique… un rien me fais pleurer. Souvent je me mets dans une peau qui n’est pas la mienne, j’écris des choses qui ne m’arriveront jamais mais qui sont vraies dans l’absolu, et donc j’y crois. » (interview disponible sur le site du Paleo Festival)
