Ultra vomit :

Ainsi, contre vents et marées et toutes attentes, Le roi Fetus (Chants,imitation,guitare), Le nain
Flockos (Lead guitare,chant lointain), L’elfe Monard (Batterie, voix de merde) et L’estomac Garou
(Basse) rangés collectivement derrière la devise « in parodia we trust », frappée en lettres gothiques
sur écusson de métal, avaient-ils conquis les foules et, pantois, se laissèrent aller à réfléchir… Que
faire désormais ? Grands Dieux, mais pourfendre et estomaquer de plus larges publics encore ! Dont
acte.

© Dirty 8

Tagada jones :

Boutades électriques et mélodies colériques, un humour qui s’assume sans relecture, des chansons qui
ne souffrent pas l’analyse (take it or leave it), Tagada Jones s’inscrit depuis plus d’une décennie dans
une tradition hexagonale née de l’importation, à l’orée des 80’s, d’un certain way of punk. L’action
prime et les sets rageurs s’emploient à ignorer toute distance avec le spectateur, déclinant influences
metal et hardcore dans de petits brûlots qui secouent corps et esprit.

Parabellum :

Petite chanson de comptoir à propos de Parabellum :

{« Tout le monde en a plaisanté (sauf les muets, ça c’est forcé), tout le monde a rigolé de leur portrait
robot (sauf les aveugles, y’a pas photo), tout le monde courra les voir en concert (sauf les cul-dejatte
ou bien je m’y perds) ».}

Esprit du clan :

Quand Paris se rêve capitale de nouveaux tribalismes, l’Esprit du Clan n’est jamais loin. Un esprit qui
aime à souffler, chaud et froid, hip hop et metal, sur les concerts de ce combo de la banlieue nord.

Bevor eine Woche später im Zénith in Straßburg das Artefact Festival 2009 steigt, machen die französischen Punker schon mal ihr eigenes Ding. Vier
Bands, die teilweise schon in der Laiterie auf der Bühne standen und deren Konzerte ausverkauft waren, beweisen eindrucksvoll den eigentlich längst
abgedroschenen Spruch: Punk not dead !

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