{{GRANDE SALLE}}

{{ERIC ZO}} 20h30

Strasbourg/électro trip rock/ www.ericzo.com

Eric Zo est le projet hybride d’un ex « Tribal Poursuite »
(pour ceux qui s’en souviennent). Après plusieurs années
d’expérimentation solitaire, il marque un surprenant retour
dans un répertoire empreint d’électronique et sort son nouvel
EP au mois d’avril.

{{RENZ}} 21h20

Strasbourg/lo-fi folk/ www.hrzfld.com

Quelques concerts intimistes en guise de cadeau de noël en
fin d’année dernière nous ont mis la puce à l’oreille. Renz
l’auteur du remarqué Wowox paru il y a 3 ans sur Vergorecords
s’était donc remis au travail. Un album est prévu chez Herzfeld
en octobre, il en interprétera ici quelques compositions en
avant première.

{{PEST SOUND}} 22h10

Strasbourg/rock asymétrique/ www.pestsound.com

Atterrissage réussi pour le groupe de Neil Ovey qui revient tout
juste de Chicago. Dans ses valises, on trouve le master d’un premier
album qui sera sans doute parmi les plus originaux produit
par la scène strasbourgeoise depuis longtemps. Enregistré chez
et par Steve Albini, le disque qui voyage entre « rock asymétrique
et cabaret gallois » s’intitulera «76 Kilos Laughing».

{{SUPERDOG}} 23h00

Ingwiller/pop/ www.superdogmusic.net

Après plus de 200 concerts (Londres, Amsterdam,
Paris, Bruxelles, Berlin, Hambourg…) SuperDog publie
«SuperDogMatic» un deuxième album à paraître chez Warner
Chappell en mai 2006.

{{SPANGLES}} 23h50

Strasbourg-Nancy / pop rock/ http://the.spangles.free.fr

Les Spangles sont-ils arrivés à maturité ? «J’espère bien que
non ! Nous préférons rester immatures, lunatiques et incontrôlables.
C’est de là sans doute que nous vient l’inspiration.
Inspirer – Expirer… et attention de ne pas mourir étouffés dans
nos paillettes !» répond Manöx, le charismatique chanteur du
groupe. Leur deuxième album verra le jour en octobre 2006.

{{DOPAMINE ADDICT QUARTET}} 00h40

Strasbourg-Saint Dié / punk’n’roll / http://dopamine.fr.st

Dernière signature du team Novalis Impulse, label entre autre
de Toxic Kiss avec lesquels ils partagent batteur et amitié
d’enfance déodatienne, le groupe sort en ce début d’année
son premier album.

{{CLUB LAITERIE}}

{{LIKE IN PRIMAL SCUM}} 21h00

Strasbourg / post rock / www.likeinprimalscum.com

Like In Primal Scum récente recrue du label Labside et du
tourneur Wir Fahren Fur a vu le jour début 2004. A l’issue de
deux années riches en concerts, ils déclarent avec un naturel
déconcertant « une étrange et commune source d’inspiration
nous amène à développer notre musique en jouant sur l’intensité
et les progressions. ». Ce groupe intrigant investit pour la
première fois une scène de la Laiterie.

{{KOENIG CRACKERS
UND SNICKERS NICHT}} 21h50

Strasbourg / rock médiéval / www.titaniumexpose.fr.fm

« Trio hardcore, sur un air baroque ou de comédie médiévale,
KCUSN passent de Louis XIV à l’oiseau de Malte avec une dose
de débilité à son apogée ». Résolument campé entre Richard
Clayderman et Lightning Bolt, un projet « écouté et approuvé
» par les toujours défricheurs Titanium Expose.

{{BOPHAL}} 22h40

Strasbourg / post hardcore / www.titaniumexpose.fr.fm

« Electrique, taciturne, violent, indescriptible… La musique
de Böphal est comme un signal lancé aux énergies du ciel
afin que celui-ci s’ouvre en un grand trou noir et dévore tous
ceux qui le croiseront. » En d’autres mots, on dira que cette
réunion de membres de Titanium Expose et de Karenine aime
à entretenir l’esprit post hardcore dans les lieux les plus
avertis du grand Est.

{{TRIPTONIC}} 23h30

Strasbourg / post pop rock / www.triptonic.org

Triptonic est l’auteur d’un album fort bien accueilli par la
critique « indé » l’année dernière. Fondateurs du label Labside
ou encore organisateurs de concerts, les membres de groupe
sont sur tous les fronts lorsqu’il s’agit de défendre la culture
du rock indépendant. Avant d’entamer une série de concerts
parisiens, le groupe prend sa carte au club, histoire de militer
une nouvelle fois pour un rock atmosphérique et électrique.

{{TORSO}} 00h20

Strasbourg / electro-wave / http://torso.chez-alice.ff

« Quand j’étais petit, comme métier je voulais faire Daniel
Darc» plaisantait il y a 2 ans Vincent Fallacara, croisé à la
Laiterie lors du retour à la scène du sus nommé. Aujourd’hui
le projet Torso lui permet de s’émanciper de ses Rosebud et
de contraindre ses influences dans l’espace de l’attitude. La
musique de Torso « condensée de colère sourde et de violence
froide », se veut « à la fois âpre et d’une grande finesse ».