Que reste-t-il, à Liverpool, du Mersey Beat, des Crucial Three ou des La's ? Que reste-t-il des fantômes qui peuplaient Strawberry Fields, des fantasmatiques symphonies que Lee Mavers entendait sans jamais parvenir à les coucher sur la bande et des contrées brumeuses que seul Julian Cope a arpenté avant sa rédemption ? Que reste-t-il à Liverpool de cette légende en reconstruction permanente, héritage toujours plus lourd pour celui qui a la louable outrecuidance d'écrire des pop songs ? Demandons le à The Coral dont les grands parents étaient peut-être à la Quarry Bank High School avec John Lennon et les parents au pub avec Ian Mac Cullough... Agés en effet d'à peine 20 ans, ceux-là naviguent entre références pop, clins d'oeil country et penchants psychédéliques ; ils ont fait de The Coral le véhicule d'une aventure toute personnelle qui les inscrit de fait à la fois dans la tradition charriée par le Mersey et dans une trajectoire qui n'appartient qu'à eux et à ceux qui voudront la partager.




Im Herbst tourten die Briten durch deutsche Lande und wurden von den Fans und den Musikkritikern gefeiert. Ihr Album „Shadows Fall“ ist ein wohlklingendes Stück Schönheit, und auf der Bühne lässt die Band es gern indie rockig krachen. Das bringt sie in die Nähe der Happy Mondays.

Le site officiel de THE CORAL:

http://www.thecoral.co.uk/