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SOPRANO : {« Moi je me remets tout le temps en question. Comme le dirait Médine, c’est un « combat contre soi-même ». Je vais avoir l’air utopiste, mais je pense que pour changer le monde, il faut se changer d’abord. Et me remettre en question me permet de m’améliorer dans ce but. (...) Mes contradictions m’agacent. Je veux sauver le monde, mais je contribue à son malheur. (...).Pour moi c’est encore pire : j’affronte mes problèmes ! (...) »}




LA SWIJA : {« On peut pas dire qu’on soit 100 % Hip Hop parce que dans la vie on ne peut pas être 100 % à tout, on est Hip Hop comme on est des mecs de chez nous, comme on est des écoliers… On fait de la musique par le Hip Hop, on prend la musique qui nous ressemble le plus, avec laquelle on est la plus à l’aise pour s’exprimer, il faut dire aussi qu’on a été bercé par le rap. »}




Anders als in Deutschland haben die französischen Rapper oft wirklich eine Vergangenheit in trostlosen Ghettos rund um die Metropolen unseres Nachbarlandes. Also klingen sie glaubwürdi-ger als ihre teutonischen Cousins, aber nicht so brutal wie ihre Brüder aus Amerika.




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