Inscrite dans une tradition folk qui semble se réinventer de décennie en décennie,
Alela Diane en abonde le répertoire de chansons qui la “dépassent
un peu”. “J’ai l’impression qu’elles viennent d’horizons plus lointains… La
plupart d’entre elles parlent du passé, d’histoires anciennes ou de l’enfance
déchue… pour faire circuler les histoires de personnes qui ont disparu depuis
longtemps et qui, donc, ne sont plus là pour les raconter.”
Son troisième album, le premier sur lequel elle s’entoure véritablement d’un
groupe et se confie à un producteur, fait franchir un pas incontestable à sa
musique et esquisse sans doute une trajectoire au long cours.




En ouverture, Dylan Leblanc assume son prénom, ancrant son geste dans la
persistance de celui d’un jeune songwriter qui plongea dans l’aventure folk à
l’entrée des 60’s embrasa Greenwich Village puis le monde au passage.



Alela Diane wuchs in der ehemaligen Goldgräberstadt Nevada City in Nordkalifornien auf. Ihre Musik
ist Folk mit ein wenig Blues, interpretiert mit einer warmen aber kraftvollen Stimme sowie einem
melancholischen Gitarrenspiel. Begleitet wird sie von Dylan Leblanc. Nomen est omen?



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